Weg mit den Masken an Kindern! Starkes Wallis für die Kinder/ A bas les masques sur les enfants! Valais fort pour les enfants!
Petitionstext deutsch (weiter unten französisch/ plus bas en français)
Während der Pandemie hat die Walliser Regierung Entscheidungen getroffen, die Kinderrechte missachten. Kinder haben keine Lobby und scheinen wirtschaftlich insignifikant. Das darf aber keine Legitimation sein, sich über ihre Rechte zu stellen. Mit dieser Petition wollen wir ihnen eine bis ins Regierungsgebäude hörbare Stimme geben!
Gestützt auf EpG Art. 4 §2 b. und c.; EpG Art. 30 §1 a. und b. sowie §2; BV Art. 9; BV Art. 11 §1; BV Art. 19; BV Art. 36 §2 und 3; UNO Kinderrechtskonvention Art. 3, Art. 28, Art. 29 und Art. 31 (s. Rechtsgrundlagen unten) fordern die unterzeichnenden Personen JETZT von der Regierung des Kantons Wallis für die Volksschulen (Klassen 1H-11H):
- Schulschliessungen (inkl. vorgezogene und verlängerte Ferien) dürfen, wie von internationalen Experten einstimmig empfohlen, nur als allerletzte Massnahme in der Bekämpfung des Coronavirus eingesetzt werden, d.h. erst wenn alle anderen Massnahmen (Schliessung der nicht für den täglichen Bedarf notwendigen Einrichtungen und Geschäfte, Impfung und Booster für alle Impfwilligen, funktionsfähiges repetitives Testen, CO2-Messgeräte in Klassenzimmern, Hygiene- und Abstandsregeln) nicht ausreichen, um einen Kollaps des Gesundheitssystems zu vermeiden.
- Schutzmassnahmen dürfen allgemein bei Kindern nicht strenger sein als bei Erwachsenen. Das bedeutet auch, dass geimpfte und genesene Kinder, wie Erwachsene, von der Quarantäne befreit sind. So dürfen keine pauschalen Klassenquarantänen verordnet werden.
- Maskenpflicht an den obligatorischen Schulen darf nur zeitlich begrenzt und punktuell bei Auftreten von positiven Fällen in einer Klasse eingesetzt werden. Zudem: Je jünger die Kinder, desto kontraproduktiver das Maskentragen: die Maskenpflicht an der Volksschule (1H-11H) muss sofort abgeschafft werden.
- Schutzmassnahmen dürfen nur bei wissenschaftlicher Evidenz ihrer Wirksamkeit, Verhältnismässigkeit und Unerlässlichkeit eingesetzt werden, wie bereits im Epidemiegesetz festgehalten. Der Nutzen der Masken bei Kindern gegen Ansteckungen ist z.B. nicht eindeutig belegt, deshalb s. Punkt 3.
- Investitionen in eine wirksame, agile Infrastruktur zur Eingrenzung von Epidemien und Pandemien, d.h. Ausbau genügenden Laborkapazitäten, die ein flächedeckendes repetitives Testen mit Resultaten am selben Tag ermöglichen; digital unterstütztes Contact Tracing mit Erhebung von empirischen Daten zu den Transmissionswegen; Luftwaschgeräte oder zumindest CO2-Messgeräte in den Schulzimmern; ausreichende Impfkapazitäten.
- Schulschliessungen, Klassenquarantänen und Absagen von pädagogisch wertvollen Aktivitäten wie Lager, Exkursionen, klassenübergreifenden Projekten, Schüleraustausch, usw. führen zu alarmierenden Bildungslücken. Bildung ist der einzige Rohstoff unseres Landes und ist systemrelevant!
Das Maskentragen verursacht bei Kindern nicht nur vorübergehende Nebenwirkungen wie eine erschwerte Kommunikation, Kopfschmerzen, Konzentrationsstörungen, Reizbarkeit, usw., sondern es verhindert auch eine gesunde Entwicklung des Immunsystems, weil dieses zu wenig mit Viren und Bakterien konfrontiert wird.
Diese einschneidenden Massnahmen haben physische, psychische sowie soziale Folgen, die unsere Jugend bereits seit zwei Jahren in grossen Massen belasten und die sie ein Leben lang spüren werden. Deshalb:
NEIN zu unverhältnismässigen Einschränkungen, die mehr schaden als nutzen!
JA zu Kinderrechten, auch während der Pandemie!
Rechtsgrundlagen: - Epidemiegesetz (EpG) Art. 4
2 Bei der Festlegung der Ziele und Strategien sind insbesondere zu berücksichtigen:
b. internationale Empfehlungen und Richtlinien
c. der aktuelle Stand der Wissenschaft. - EpG Art. 30
1 Eine Massnahme nach den Artikeln 33–38 darf nur angeordnet werden, wenn:
a. weniger einschneidende Massnahmen, um die Verbreitung einer übertragbaren Krankheit zu verhindern, nicht ausreichen oder nicht geeignet sind; und
b. die Massnahme dazu dient, eine ernsthafte Gefahr für die Gesundheit Dritter abzuwenden.
2 Die Massnahme muss erforderlich und zumutbar sein. - Bundesverfassung (BV) Art. 9
Jede Person hat Anspruch darauf, von den staatlichen Organen ohne Willkür und nach Treu und Glauben behandelt zu werden. - BV Art. 11
1 Kinder und Jugendliche haben Anspruch auf besonderen Schutz ihrer Unversehrtheit und auf Förderung ihrer Entwicklung. - BV Art. 19
Der Anspruch auf ausreichenden und unentgeltlichen Grundschulunterricht ist gewährleistet. - BV Art. 36
2 Einschränkungen von Grundrechten müssen durch ein öffentliches Interesse oder durch den Schutz von Grundrechten Dritter gerechtfertigt sein.
3 Einschränkungen von Grundrechten müssen verhältnismässig sein. - UNO Kinderrechtskonvention, Art. 3
1 Bei allen Massnahmen, die Kinder betreffen, gleichviel ob sie von öffentlichen oder privaten Einrichtungen der sozialen Fürsorge, Gerichten, Verwaltungsbehörden oder Gesetzgebungsorganen getroffen werden, ist das Wohl des Kindes ein Gesichtspunkt, der vorrangig zu berücksichtigen ist. - UNO Kinderrechtskonvention, Art. 28 und 29
„Recht auf Bildung; Schule; Berufsausbildung“ - UNO Kinderrechtskonvention, Art. 31
„Recht auf Ruhe und Freizeit, auf Spiel und altersgemässe aktive Erholung sowie auf freie Teilnahme am kulturellen und künstlerischen Leben“.
Texte de la pétition en français
Pendant la pandémie, le Gouvernement Valaisan a pris des décisions qui ne respectent pas les droits des enfants. Les enfants n'ont pas de lobby et sont semblent insignifiants sur le plan économique. Mais cela ne doit pas être une légitimation, se placer au-dessus de leurs droits. Avec cette pétition, nous voulons leur donner une voix audible jusqu'au palais du gouvernement!
Vu la LEp art. 4 §2 b. et c. ; LEp art. 30 §1 a. et b. et §2 ; Cst. art. 9 ; Cst. art. 11 §1 ; Cst. art. 19 ; Cst. art. 36 §2 et 3 ; Convention de l’ONU relative aux droits de l'enfant, art. 3, art. 28, art. 29 et art. 31 (cf. Bases juridiques ci-dessous) les personnes soussignées demandent MAINTENANT au Gouvernement du Canton du Valais pour les écoles obligatoires (classes 1H-11H) :
- Les fermetures d'écoles (y compris les vacances anticipées et prolongées) comme le recommandent unanimement les experts internationaux, ne doivent être comme toute dernière mesure dans la lutte contre le coronavirus c'est-à-dire uniquement lorsque toutes les autres mesures (fermeture des établissements et commerces non indispensables à la vie quotidienne, la vaccination et rappel pour tous les vaccinés, test répétitif fonctionnel, appareils de mesure du CO2 dans les salles de classe, règles d'hygiène et de distance) ne suffiront pas, pour éviter un effondrement du système de santé.
- Les mesures de protection ne doivent généralement pas être plus strictes chez les enfants que chez les adultes. Cela signifie également que les enfants vaccinés et les enfants guéris soient, comme les adultes, exemptés de quarantaine. Ainsi, aucune quarantaine de classe globale ne doit être prescrite.
- L'obligation du port du masque dans les écoles obligatoires ne doit être que temporaire, limitée et ponctuelle en cas d'apparition de cas positifs dans une classe. De plus: plus les enfants sont jeunes, plus le port du masque est contre-productif : l'obligation du port du masque à l'écoleobligatoires (classes 1H-11H) doit être immédiatement supprimé.
- Les mesures de protection ne peuvent être utilisées que si leur efficacité, leur proportionnalité et leur caractère indispensable sont scientifiquement prouvés, comme le stipule déjà la loi sur les épidémies. L'utilité des masques chez les enfants contre les infections n'est pas clairement prouvé, c'est pourquoi voir le point 3.
- Investir dans une infrastructure efficace et agile pour limiter les d'épidémies et de pandémies, c'est-à-dire le développement de capacités de laboratoire permettant de réaliser des tests répétitifs sur toute la surface avec des résultats le jour même ; Traçage de contact assisté numériquement avec collecte de données empiriques sur les voies de transmission; des appareils de lavage d'air ou au moins des capteurs de CO2 dans les salles de classe; des capacités de vaccination suffisantes.
Fermetures d'écoles, quarantaines de classes et annulations d'activités pédagogiques et e grand valeur comme des camps, les excursions, des projets inter-classes, des échanges scolaires, etc. provoquent des lacunes alarmantes dans d'éducation. L'éducation est la seule matière de notre pays et l’est d'importance systémique!
Le port du masque ne provoque pas seulement des effets secondaires temporaires chez les enfants comme une communication plus difficile, des maux de tête, des troubles de la concentration, de l'irritabilité, etc. mais il empêche également un développement sain du système immunitaire, car celui-ci n'est pas suffisamment confronté aux virus et aux bactéries.
Ces mesures radicales entrainent des conséquences physiques, psychiques et sociales qui touchent nos jeunes depuis deux ans déjà et qu'ils ressentiront toute leur vie. C'est pourquoi :
NON à des restrictions disproportionnées qui sont plus font plus de mal que de bien!
OUI aux droits de l'enfant, même pendant la pandémie!
Bases juridiques de la loi :
- Loi sur les épidémies (LEp) Art. 4
2 La définition des objectifs et des stratégies tiendra compte en particulier des éleménts suivants:
b. les recommandations et les directives internationales;
c. l'état actuel de la science. - LEp Art. 30
1 les mesures visée aux art. 33 à 38 ne peuvent être ordonnées qu'aux conditions suivantes:
a. des mesures moins contraignantes ne sont pas de nature à prévenir la propagation d'une maladie transmissible ou n'y suffisent pas; et
b. la mesure concernée permet et prévenir un risque sérieux pour la santé d'autrui.
2 La mesure ordonée doit être nécessaire et raisonnable. - Constitution fédérale (Cst.) Art. 9
Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État, sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. - Cst. art. 11
1 Les enfants et les jeunes ont droit à une protection particulière de leur intégrité et à l'encouragement de leur développement. - Cst. art. 19
Le droit à un enseignement de base suffisant et gratuit est garanti. - Cst. art. 36
2 Toute restriction d'un droits fondamental doit être justifiée par un intérêt public ou par la protection d'un droit fondamental d'autrui.
3 Tout restrictions d'un droits fondamental doit être proportionnées au but visé. - Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, art. 3
1 Dans toutes les décisions qui concernent les enfants, qu'elles soient le fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale. - Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, art. 28 et 29
"Droit à l'éducation ; école ; formation professionnelle". - Convention de l'ONU relative aux droits de l'enfant, art. 31
"Droit au repos et aux loisirs, au jeu et à une activité physique adaptée à son âge. de loisirs, ainsi qu'à la libre participation à la vie culturelle et vie artistique"
Jentsch A., Dirren C., Kronig S., Mathieu S. Verfasser der Petition kontaktieren